Réalisateur Matthieu Tribes.
Mathieu Kassovitz et Marina Foïs dans le rôle des parents
Campagne R.E.S.P.E.C.T.
MERCI: http://www.c-n-r.org/
Peu importe ce qui nous fait fuir.
Le feu : la guerre, les attentats, la famine, les catastrophes naturelles, toute forme de rupture qui oblige à partir dans un réflexe de survie. Être en exil, c’est être dans un parcours de survie.
Il faut fuir, tout de suite, sans rien emporter de ce qui fut notre vie jusqu’alors, peu importe vers où.
Les murs : ces frontières que l’Europe érige toujours plus haut au mépris des belles valeurs dont elle se targue et au nom desquelles elle fait la leçon (et parfois la guerre) aux autres. Les murs, c’est cette attitude criminelle et funeste qui interdit à des humains de s’en sortir, si coûteuse en vies humaines. C’est le sombre message de mépris envoyé au monde entier : finalement, nous n’avons que faire de vos problèmes (même si souvent nous en sommes en partie responsables).
Venu à la rencontre de certains réfugiés et des acteurs de terrain qui agissent autour des campements de rue de Paris, le réalisateur Matthieu Tribes a voulu mettre en image l’allégorie de cette tragédie : la fermeture des frontières tue aussi sûrement que les catastrophes qui ont fait fuir les personnes exilées. De l’autre côté de ces murs, que la vox populi ou les politiques actuelles érigent en forteresses, des familles entières sont prisent entre le marteau et l’enclume : fuir et vivre comme un paria ou rester et risquer la mort.
Et si demain c’était nous ? Protégerons-nous plutôt les humains ou les frontières ?
Le feu : la guerre, les attentats, la famine, les catastrophes naturelles, toute forme de rupture qui oblige à partir dans un réflexe de survie. Être en exil, c’est être dans un parcours de survie.
Les murs : ces frontières que l’Europe érige toujours plus haut au mépris des belles valeurs dont elle se targue et au nom desquelles elle fait la leçon (et parfois la guerre) aux autres. Les murs, c’est cette attitude criminelle et funeste qui interdit à des humains de s’en sortir, si coûteuse en vies humaines. C’est le sombre message de mépris envoyé au monde entier : finalement, nous n’avons que faire de vos problèmes (même si souvent nous en sommes en partie responsables).
Et si demain c’était nous ? Protégerons-nous plutôt les humains ou les frontières ?
MERCI: http://www.c-n-r.org/
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