« Aussi grand que soit un trou, il y a toujours quelque chose autour. »
« Là où on a chaud au coeur, là est la patrie. »
« Je ne supportais pas l'idée de ces forêts rasées pour nourrir ce fantastique gaspillage de matière imprimée, dont une part infime sera lue, dont une part encore plus minuscule vaut la peine d'être lue. »
« Les cons gagnent toujours. Ils sont trop. »
« Il n’y a pas cinquante manières de faire la guerre, il n’y en a qu’une : la sale. »
« Sept Français sur dix sont malheureux en ménage. Les trois autres sont célibataires.»
«Dans l'intérieur de notre corps vivent en permanence des milliards de microbes. Pourtant, quand on les regarde au microcospe, ils font tous semblant de ne pas nous reconnaître.»
RÉSUMÉ
Même que sa boîte noire - pour ce qui est de ses souvenirs de gosse entre six et seize ans - est pleine de choses drôles, émouvantes, débordantes d'affection et de joie. Y a-t-il un livre sur l'enfance qui sonne plus vrai que celui-ci ?
Bernard Pivot, Lire.
Bernard Pivot, Lire.
Enfin, il y a, tout au long de ces pages, le ton de Cavanna. Les lecteurs de Charlie Hebdo le reconnaîtront, bien sûr, mais ils seront peut-être surpris d'y découvrir tant de tendresse. Avec le contrepoint d'une musique mélancolique aux histoires les plus hilarantes, et des échos burlesques aux histoires les plus poignantes.
Rosa Laisné, L'Express.
Rosa Laisné, L'Express.
Cavanna, avec son ton familier de baratineur, nous dépeint ses jeunes années d'une façon décousue, se rappelant en vrac les meilleurs moments de son existence d'avant seize ans, à une époque plutôt joyeuse malgré la guerre qui pointe à l'horizon.
Jean-Claude Lamy, France-Soir.
Jean-Claude Lamy, France-Soir.
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