Auteur de romans pour adultes et pour la jeunesse, de nouvelles, de pièces de théâtre, de feuilletons pour la radio et de séries pour la télé, j’utilise mon stylo pour gratter un peu partout où le monde me démange.
Nicolas AncionNicolas Ancion
Poésie / Roman / Nouvelle / Jeunesse / Théâtre
Nicolas Ancion est né à Liège, en Belgique, de parents marionnettistes professionnels.
Il a grandi en coulisses, regardant le grand spectacle du monde avec ses yeux de gamin. Dès l’adolescence, il s’est mis à écrire et ne s’est plus arrêté depuis.
Il a grandi en coulisses, regardant le grand spectacle du monde avec ses yeux de gamin. Dès l’adolescence, il s’est mis à écrire et ne s’est plus arrêté depuis.
Il écrit des romans, du théâtre, des histoires pour enfants, des contes pour les grands, des feuilletons pour la radio et sur Internet, des scénarios de cinéma et des chroniques régulières qu’on peut lire dans les magazines ou dans les blogs.
Licencié en lettres et langues romanes, il a été tour à tour rédacteur commercial, enseignant, éditeur, commercial tout terrain, agitateur d’ateliers d’écriture, pionnier de l’édition numérique, animateur radio et directeur d’association de défense du déplacement à vélo.
Il est aussi papa de Lucie et Joseph, dans une vieille maison en pierre, à deux pas de Carcassonne.
Depuis dix ans, il voyage à la rencontre des lecteurs partout dans le monde : dans les classes, les bibliothèques, les associations, les cafés et théâtres, depuis le fond de l’Aude jusqu’au bord de la Belgique, en passant par Saint-Pétersbourg, l’Oregon ou Madagascar.
Ecrire, aux yeux de Nicolas Ancion, c’est aussi partager la passion du livre, le plaisir de vivre sa passion et semer un peu d’enthousiasme contagieux.
Dans ses textes, Nicolas Ancion fait vivre, toujours avec humour et décalage, des personnages en marge de notre société contemporaine : laissés pour compte, malfrats maladroits, amoureux éconduits, grands rêveurs, poètes terre à terre et rebelles sans révolution. Avec de l’imagination, on peut même se faire croire que le monde est beau, le temps d’un livre.MERCI: http://www.m-e-l.fr/nicolas-ancion,ec,499
Lors de sa conférence Pourquoi écrire de la fiction en français aujourd'hui? et au cours d'un atelier L'utilisation de l'atelier d'écriture en classe de FLE, Nicolas Ancion nous a emportés dans la magie de la littérature en soulignant la force de la fiction - qui ne dit pas la vérité, mais charpente et remplit notre vie - fiction essentielle et formatrice dans le monde actuel puisque le mensonge y façonne toute communication.
Lire, c'est vivre. Grâce à la lecture et à l'écriture, on apprivoise le monde, on le fait sien et, bien sûr, on prend du plaisir! Et qui plus est, en français...
...et quelle belle découverte !
Nicolas Ancion nous a fait rire, réfléchir, conter (et compter!), écrire collectivement... Le temps s'est arrêté...Nous l'avons écouté avec bonheur, nous allons le lire avec empressement!
Présenté par son auteur:
Oui, le résumé nous a aussi donné envie de le lire
et de le faire lire!
Quelques citations:et de le faire lire!
«Le ciel était presque toujours gris, l'étendue infinie de nuages portait en son ventre des pluies lourdes et interminables. C´était le ciel de ma jeunesse: avec une météo pareille, on est condamné à aimer la littérature.»
p.24
«Ce que j'avais aimé, cet après-midi-là, c'était le plaisir de raconter une histoire en toute liberté, sans être contraint ni par la vérité ni par l'exactitude. J'avais juste cherché à captiver mon public. Je venais de découvrir le bonheur de mentir. Je voulais devenir écrivain.»
p.35
«Combien de minutes et combien de secondes? Nous n'avions plus beaucoup de temps devant nous, les minutes étaient comptées mais nous avions l'éternité. Car l'éternité est contenue dans chaque instant dont on profite, pas dans le temps qui file et qu'on ne saisit pas.»
p.70
«Il n'y a rien de plus beau que les histoire qu'on se raconte et qui font pétiller la vie. Il a détourné le regard, fixé un instant le ciel gris de l'autre côté de la vitre puis il a conclu:
- Elle serait bien triste, sans cela.»
p.72
«La vie, comme l'éternité, ne dure qu'un instant, c'est à nous d'en profiter.»
p.74
José Maria Laura
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